jeudi 4 novembre 2010

Emploi du temps TPCTS



jeudi 4 novembre : 14 à 16 heures : comptables, 16 à 18 heures : secrétaires...

mercredi 8 septembre 2010

Faire une frise chronologique



Cette chronologie s’inscrit dans le cadre de la première séquence : les relations internationales depuis 1850 et en particulier dans sa troisième séance : la guerre froide.
Consignes :
- Faîtes la frise chronologique correspondant à ces événements.
- Chaque date doit figurer sur la frise, par un trait partant de l’axe des ordonnées et un cartouche dans lequel vous mettrez à quoi correspond l’événement.
- Votre frise doit être organisée en deux parties :l’un pour les relations internationales, l’autre pour la politique intérieure, de part et d’autre de l’axe des ordonnées ?
- Vous devez donner un titre à ce document.
- Votre travail doit être propre, précis, prenez votre feuille en format paysage, un grand carreau correspond à 2 mois, il faut donc 6 carreau pour une année…. Gardez les mêmes repères !

samedi 4 septembre 2010

Rentrée solidaire avec le Mali



http://www.uncahier-uncrayon.org/ext/http://solidarite-laique.axinet.net/ewb_pages/e/education-pour-tous1783.php

dimanche 11 juillet 2010

mardi 18 mai 2010

sujet de rattrapage presse

je n'ai pas pu mettre en ligne le sujet sur blogspot,suivez le lien :
http://sites.google.com/site/profchaboy/sujet-rattrapage-presse
Copiez l'adresse Internet ou envoyez-moi unmail pour que je vous communique le sujet à l'adresse suivante:
vincent.chaboy@gmail.com
Merci par avance

Le serpent qui danse : un exemple de sujet poétiq


Le serpent qui danse
Que j'aime voir, chère indolente,
De ton corps si beau,
Comme une étoffe vacillante,
Miroiter la peau !
Sur ta chevelure profonde
Aux âcres parfums,
Mer odorante et vagabonde
Aux flots bleus et bruns,
Comme un navire qui s'éveille
Au vent du matin,
Mon âme rêveuse appareille
Pour un ciel lointain.
Tes yeux, où rien ne se révèle
De doux ni d'amer,
Sont deux bijoux froids où se mêle
L'or avec le fer.
À te voir marcher en cadence,
Belle d'abandon,
On dirait un serpent qui danse
Au bout d'un bâton.
Sous le fardeau de ta paresse
Ta tête d'enfant
Se balance avec la mollesse
D'un jeune éléphant

Et ton corps se penche et s'allonge
Comme un fin vaisseau
Qui roule bord sur bord et plonge
Ses vergues* dans l'eau.
Comme un flot grossi par la fonte
Des glaciers grondants,
Quand l'eau de ta bouche remonte
Au bord de tes dents,
Je crois boire un vin de Bohème,
Amer et vainqueur,
Un ciel liquide qui parsème
D'étoiles mon coeur!

Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, XXVIII. juin 1857.
* Vergue : pièce de bois soutenant une voile.

QUESTIONS
Les réponses doivent être rédigées.

1 - Compétences de lecture / 10 points
1. En quoi ce texte est-il un poème ? /3
Donnez trois éléments de réponse en les justifiant.
2. Dans la quatrième strophe, quelle est la figure de style utilisée et quels sont les sentiments contradictoires exprimés par le poète ? /3
3. Ce poème évoque la femme aimée. Relevez quatre aspects physiques et quatre attitudes de cette femme présentés par Baudelaire. /4

II - Compétences d'écriture / 10 points
Comme l'amour, une relation d'amitié peut apporter des joies et des peines.
Dans un développement argumenté et illustré d'exemples, vous montrerez les deux aspects de cette relation.
L'orthographe et la syntaxe compteront pour 3 points.

Deux visions sur Dracula


DOCUMENT 1 :
DU SANG !
Dans leur machine à voyager à travers le temps, Vron et Dreena, les deux derniers
survivants de la race de vampires, fuyaient vers le futur pour échapper à l'anéantissement.
Ils se tenaient les mains pour se réconforter mutuellement. Ils avaient peur et ils avaient faim.
Au XXIIème siècle, l'humanité avait découvert que la légende des vampires vivant
secrètement parmi les humains n'était pas le moins du monde une légende, mais
l'expression de la réalité. Il s'en était suivi une extermination en masse qui n'avait pas épargné ce couple. Tous deux travaillaient à inventer une machine à voyager dans le temps, et ils l'avaient terminée juste assez tôt pour pouvoir s'échapper grâce à elle.
S'échapper en direction du futur, assez loin pour que le mot même de vampire fût oublié, pour pouvoir vivre de nouveau insoupçonnés - et être la souche qui régénérerait leur race.
- J'ai faim, Vron. Comme j'ai faim !
- Moi aussi, Dreena, mon amour. Bientôt nous nous arrêterons.
Quatre fois ils s'étaient déjà arrêtés et à chacune d'elles ils avaient échappé de justesse à la mort. Ils n'étaient pas encore oubliés. La quatrième, un demi - million d'années en arrière, leur avait montré un monde livré aux chiens - au sens littéral : les humains étaient éteints et les chiens civilisés et humanisés. Et là encore, on les avait reconnus pour ce qu'ils étaient. Ils avaient tenté malgré tout de satisfaire leur faim dévorante sur le sang d'une petite fille chien, mais ils avaient été pris en chasse par une meute hurlante et n'avaient eu que le temps de fuir avec leur machine.
- Merci de t'arrêter, fit Dreena qui poussa un soupir.
- Ne me remercie pas, dit Vron sombrement. Nous sommes à bout de course.
Nous n'avons plus de combustible et nous ne trouverons personne ici. La radioactivité y règne...
Ils sortirent.
- Regarde! s'exclama Dreena avec excitation, en montrant du doigt quelque chose qui
s'avançait vers eux.
Une créature nouvelle ! Les chiens ont disparu et une autre race a pris leur place. Et sûrement maintenant nous sommes oubliés.
La créature qui s'approchait d'eux était télépathe (1).
- J'entends vos pensées, fit une voix à l'intérieur de leurs cerveaux. Vous vous demandez si nous connaissons les êtres appelés « vampires », quels qu'ils puissent être. Et bien, nous ne les connaissons pas.
Dreena agrippa le bras de Vron avec un frisson d'extase (2).
- La liberté ! murmura-t-elle avidement. Et de quoi se nourrir !
Vous vous interrogez également, continua la voix, sur mon origine et mon évolution. Toute vie est aujourd'hui végétale. Moi ... (il s'inclina vers eux) moi, membre de la race dominante, je suis ce qu'autrefois vous appeliez un navet.
1954, titre original : "Blood" tiré du recueil "Lune de miel en enfer". Frédéric BROWN
A - COMPÉTENCES DE LECTURE ( BEP : 10 pts CAP : 12pts)
Document 1
1 - Le genre narratif de la nouvelle, du roman, du conte ... comporte de nombreux registres (les récits fantastiques, merveilleux, de science fiction, policiers ... ). Pour cet extrait, précisez le registre auquel il appartient puis justifiez votre réponse en relevant deux indices. ( BEP et CAP : 2 pts )
2 - Expliquez pourquoi Dreena et Vron ont fui leur époque. ( BEP et CAP :1 pt)
3 - Pour quelles raisons Dreena ressent-elle un « frisson d'extase » ? Développez votre réponse. ( BEP : 2 pts CAP :1pt)
4 - Les deux dernières lignes de cet extrait changent radicalement le destin de ces deux vampires. Expliquez comment. ( BEP : 2 pts CAP : 3 pts)
Document 2
5 - Définissez la nature du document 2. ( BEP : 1 pt CAP : 2 pts)
6 - Expliquez en quoi l'image du vampire est différente dans les deux documents. ( BEP : 2 pts CAP : 3 pts)
B - COMPÉTENCES D'ÉCRITURE ( BEP : 10 pts CAP : 8 pts)
Vous venez de découvrir un « Autre Monde ». Dans une lettre, de vingt-cinq à trente
lignes, adressée à un(e) ami(e), vous le décrivez (paysages, habitants, coutumes...) et vous communiquez vos premières impressions et vos sentiments.
Pour respecter l'anonymat de votre copie, vous ne signerez pas la lettre

Sujet de BEP récit et article à écrire


Compartiment 12
Une énorme valise, un cabas usagé, un petit sac à main écrasé contre son sein droit, la sexagénaire vient de pénétrer dans le compartiment. Il est dix-huit heures quarante. L'unique voyageur discerne une vague odeur d'oignon frit et de parfum à la violette. Il interrompt la lecture de son journal pour saluer la voyageuse. En retour, la femme grogne quelques mots incompréhensibles tandis qu'elle referme avec effort la porte du compartiment. Puis elle se
plante devant le voyageur, soupire, espérant qu'il va comprendre. Alors, le voyageur replie son journal, se lève, saisit la valise de la voyageuse et la fait glisser sans ménagement dans le porte-bagages. Il entend parfaitement la remarque désobligeante et reprend sa lecture.
Dix-huit heures quarante-deux. La voyageuse vient de s'affaler dans le siège qui fait face au voyageur. Ce dernier suggère à son encombrante voisine de changer de place étant donné qu'ils sont seuls dans un compartiment d'une capacité de six personnes.
Réponse négative. Elle a réservé voiture 26, compartiment non-fumeurs, place 54, fenêtre de gauche et elle ne bougera pas. Le voyageur se dit que cette personne lui rappelle la domestique portugaise de son ex-femme. Le train s'ébranle, le voyageur se positionne légèrement de biais afin de ne pas rencontrer les genoux de son vis-à-vis et reprend sa lecture.
Le voyage commence. Il n'y aura aucun arrêt avant Strasbourg.
Dix-neuf heures quinze. La voyageuse extirpe du cabas une paire de chaussons brodés, marmonne et se déchausse.
Dix-neuf heures vingt. Pour la quatrième fois, l'homme est dérangé dans sa lecture par la voyageuse. Elle tient sur ses cuisses un sandwich entouré de papier d'aluminium ménager qu'elle retire avec délicatesse. Des effluves d'oignon frit envahissent le compartiment. Ils viennent s'ajouter au parfum d'une eau de toilette bon marché censée masquer l'odeur âcre de transpiration. Le voyageur suggère à son vis-à-vis l'ouverture de la fenêtre. La voyageuse répond qu'il fait trop froid et avale un énorme morceau de saucisse moutardée. Le voyageur suggère l'ouverture de la porte du compartiment pour une aération sommaire. La réponse lui parvient sous la forme de borborygmes(1) et de postillons : elle n'est toujours pas d'accord à cause du bruit, des courants d'air, des gens qui fument dans le couloir, elle n'est pas d'accord du tout, et s'il n'est pas content, il n'a qu'à aller ailleurs. Les molaires supérieures du voyageur rejoignent les molaires inférieures. L'homme se dit que cette personne lui rappelle la concierge d'un immeuble parisien où il se rendit un jour. Les émanations de violette défraîchies mêlées à l'odeur du sandwich se font plus fortes. La voyageuse râle de plus belle. Sans doute s'agit-il d'une insulte à l'intention du voyageur puisque celui-ci s'obstine à ne pas déguerpir, à ne pas laisser la jouissance totale du compartiment à sa voisine, en un mot, à se croire chez lui. La voyageuse continue à gronder entre deux bouchées de pain huileux tout en scrutant le voyageur. Il n'en peut plus. Il lui suggère de remballer au plus vite son déjeuner. Il dit qu'il a payé sa place, une place réservée, avec le supplément, il dit qu'il n'a pas l'intention de quitter son siège et que si elle n'arrête pas de bouffer son sandwich abominable, il va la balancer hors du train. Elle menace de le dénoncer au contrôleur et mord dans son déjeuner avec véhémence(2). Alors, le voyageur comprend que cette femme a le regard effronté de concierge qu'un jour il noya en lui maintenant la tête dans son évier ; elle refusait de lui donner la nouvelle adresse de son ex-femme. Il se dit aussi que le rictus(3) est similaire à celui de la domestique qui lui interdisait d'entrer dans le nouvel appartement de son ex-femme et qu'il étrangla sur le palier avec une serpillière, et tout cela dans un infect mélange d'odeur de cuisine et de parfum écoeurant. Il ne faut pas le pousser à bout. Il ne faut pas que ça sente l'oignon et la violette !
La femme veut crier, appeler au secours, elle n'en a pas le temps. C'est si violent, ça va si vite, et il n'y a personne dans le couloir.
A dix-neuf heures trente-deux, le contrôleur ne vérifie qu'un seul billet dans le compartiment d'extrémité, le 12. Celui où un voyageur de belle corpulence lit son journal le plus tranquillement du monde. Au passage, le contrôleur a refermé la porte donnant sur la voie. Elle claquait dans le courant d'air. Quelqu'un avait dû s'amuser à l'ouvrir. Les gens sont stupides. Un accident est si vite arrivé.
Sophie Loubière, Petits polars à l'usage des grands, Librio, 2000.
(1) borborygmes : gargouillis
(2) véhémence : force, brutalité
(3)rictus : sourire crispé




Toutes vos réponses doivent être rédigées.
COMPETENCES DE LECTURE (10 points)
Question 1 (1 point)
Ce récit est une nouvelle. Justifiez cette affirmation par deux éléments.
Question 2 (3 points)
a) Comment le voyageur réagit-il à l'arrivée de la femme ?
b) Comment qualifieriez-vous le caractère de cette voyageuse ? Justifiez votre réponse en relevant des éléments du texte.
Question 3 (3 points)
"Les molaires supérieures du voyageur rejoignent les molaires inférieures" (l.28-29)
a) Qu'indique cette expression sur l'état du voyageur ?
b) Montrez de quelle manière cet état progresse au cours de la nouvelle.
Question 4 (3 points)
a) Relevez, dans les lignes 46 à 52, deux expressions qui montrent comment le voyageur s'est débarrassé de la femme.
b) En quoi les trois dernières phrases prêtent-elles à sourire ?
COMPETENCES D'ECRITURE (10 points)
Une enquête a lieu après l'événement raconté dans la nouvelle. Journaliste au quotidien local, vous écrivez un article dans lequel vous rapportez les faits et vous intégrez le témoignage du contrôleur.
Votre article d'au moins vingt lignes comportera un titre et un développement organisé en plusieurs paragraphes.
Par respect de l'anonymat, vous ne signerez pas votre article.

mercredi 5 mai 2010

Incidents à la cité des pommiers4


Consigne : des « événements » se sont déroulés à la cité des pommiers, rue des pommiers, Pantin, Seine Saint-Denis, 93, banlieue parisienne, vous devez en faire un article d’une quinzaine de lignes.
Contraintes :
- Objectivité, neutralité, on doit trouver LES deux points de vue (jeunes ET policiers : Mahmoud, Jacko, Idriss et Gilles Petit, porte-parole du syndicat SGP-FO) ;
- Vous devez introduire vite les 5 W : qui ? Quoi ? Quand ? Où ? Pourquoi ;
- Il faut un titre, qui informe et qui attire le regard, joue avec les mots (qui dit pommes, dit pépins, tomber dans les pommes) un chapeau, c’est à dire une « introduction », qui dit ce dont vous allez parler tout en gardant du suspense, donnez envie à vos lecteurs (moi) de lire la suite ;
- Mettez les témoignages des jeunes (Jacko, Mahmoud) et du policier (Gilles Petit), variez les verbes de parole ;
- Auteur, vous, signature,
- Phrases courtes, au présent, évitez les répétitions, respectez les règles d’orthographe ;
- Votre dernière phrase devra élargir le sujet (aux relations entre jeunes et policiers ?), délivrer une morale (pas trop « lourde »).

La dépêche de l’Agence France Presse :
Trois policiers roués de coups par des jeunes à Pantin
BOBIGNY, 24 juil (AFP) trois policiers d’une patrouille vététiste ont été hospitalisés après avoir été « roués de coups », mercredi après-midi, par une bande de jeunes à Pantin (Seine-Saint-Denis), a-t-on appris de source syndicale policière.
Gbo/mfo/cat
Interviews :
Une témoin : « j’étais à la fenêtre de chez moi, j’ai vu un policier à terre, un qui s’est évanoui »…
Un témoin anonyme : « des vélomans, à force on en a marre, tous les jours, ils nous contrôlent, ils nous embarquent pour un rien ».
Mahmoud : « ça me surprend pas du tout parce que c’est la faute des smchits. Un petit mineur de 15 ans, il s’est fait agresser par les policiers, y a deux grands, y sont vus ça, y s’en mêlent, c’est normal, c’est un quartier calme, y a rien ici, c’est super calme, tous les jours, deux trois fois par jour, y a des contrôles, on en a marre, on se fait contrôler, embarquer, parce qu’on n’a pas nos papiers des quatre heures de vérif pour rien ».
Jacko : « tous les jours ça arrive que des contrôles dégénèrent ».
Gilles Petit, militant du syndicat SGP-FO, « d’après ce que j’en sais, les collègues sont tombés dans un traquenard puisqu’ils passaient en VTT dans la rue des pommiers. Ils ont été appelés par une huitaine ou une dizaine de jeunes qui se trouvaient sur le côté. En arrivant vers eux, ils ont même pas eu le temps de mettre pied à terre ils se sont littéralement fait sauter dessus par ce groupe de jeunes ».
Idriss : « Ils ont trouvé un joint… un petit il était en train de fumer un joint… Le petit, il fait 1.5 mètres, 15 ans, bon ils veulent lui mettre les menottes, le petit il dit non, comment ça vous voulez me mettre les menottes, tout ça, ils le plaquent par terre, ils le balayent, ils le plaquent par terre... ils s’y mettent à deux sur lui… un jeune de mon âge y vient y dit ouais pourquoi vous vous y prenez comme ça voilà et tout c’est un petit jeune et tout voilà quoi ».
Gilles Petit « un des collègues fonctionnaires s’est fait subtiliser son tonfa… la collègue féminine puisqu’ils étaient trois dont une collègue féminine s’est fait taper dessus principalement la tête, actuellement elle est dans un état sérieux, elle aurait besoin de subir une opération de chirurgie plastique ».

A rajouter :
- Mettre une image ;
- Jouer sur les modalisateurs ;
- Mettre un chapeau ;
- Proposer des solutions…

Incidents à la cité des pommiers3



Ce travail n'aurait pas été possible sans le DVD Apprendre la télé : Observer - démonter - analyser - comprendre le JT.
Il s'agit d'une coproduction : Ceméa, Clémi et INA et c'est une mine d'informations pour tous ceux qui se posent des questions sur le fonctionnement des médias.
Liens :
http://www.cemea.asso.fr/spip.php?article44
http://www.clemi.org
http://www.ina.fr http://www.ina.fr/production/studio/

dimanche 2 mai 2010

Incidents à la cité des pommiers 2






Consigne : des « événements » se sont déroulés à la cité des pommiers, rue des pommiers, Pantin, Seine Saint-Denis, 93, banlieue parisienne, vous devez en faire un article d’une quinzaine de lignes.

Incidents à la cité des pommiers






Consigne : des « événements » se sont déroulés à la cité des pommiers, rue des pommiers, Pantin, Seine Saint-Denis, 93, banlieue parisienne, vous devez en faire un article d’une quinzaine de lignes.